Figure 3. Exemples de cartes de densités de cônes et d’espacement intercônes chez des patients avec différentes doses cumulées d’hydroxychloroquine. Une perte en cônes et une augmentation de l’espacement avec une conservation relative de la mosaïque des cônes sont observées à mesure que la dose cumulée augmente [9].
Cliché rétinien couleur d’une atrophie géographique
Figure 1. Cliché rétinien couleur d’une atrophie géographique. On note une lésion arrondie ou ovalaire à limites nettes, d’aspect plus pâle que la rétine adjacente, avec des troncs choroïdiens visibles à travers.
Suivi d’une atrophie géographique à l’aide de clichés en autofluorescence bleue du fond d’œil
Figure 2. Suivi d’une atrophie géographique à l’aide de clichés en autofluorescence bleue du fond d’œil. Les lésions hypoautofluorescentes sombres augmentent dans le temps et deviennent confluentes. Il est possible de mesurer leur surface et de suivre leur évolution à l’aide du logiciel Region Finder Analyzer (Heidelberg).
Risque élevé de séclusion pupillaire chez un patient présentant une uvéite sarcoïdosique
Figure 1. Risque élevé de séclusion pupillaire chez un patient présentant une uvéite sarcoïdosique : la prévention repose sur le contrôle de l’inflammation pour éviter la formation de synéchies iridocristalliniennes sur 360 °.
Panuvéite unilatérale non granulomateuse à hypopion avec foyers de rétinite périphériques chez un homme de 40 ans ayant une aphtose buccale.
Figure 3. OG. Panuvéite unilatérale non granulomateuse à hypopion avec foyers de rétinite périphériques chez un homme de 40 ans ayant une aphtose buccale. Après qu’il a été établi que la recherche de virus dans l’humeur aqueuse était négative, un traitement par corticothérapie et interféron alpha-2 a permis une cicatrisation totale des foyers de rétinite et une récupération visuelle à 9/10. Les zones d’ischémie rétinienne périphérique ont été traitées secondairement par panphotocoagulation rétinienne.
Epaississement irrégulier de l’épithélium pigmentaire, associé à un décollement séreux rétinien rétrofovéolaire
Figure 2. OCT maculaire de l’œil droit montrant la présence d’un épaississement irrégulier de l’épithélium pigmentaire, associé à un décollement séreux rétinien rétrofovéolaire.
Décompte du nombre de cellules endothéliales avec l’analyse de la forme et de la répartition des cellules
Le décompte du nombre de cellules endothéliales avec l’analyse de la forme et de la répartition des cellules apporte un élément indispensable dans le suivi des patients atteints de cornea guttata par exemple.
Photo en cours de réalisation du capot par le laser femtoseconde lors de la première phase de la technique de DIAKIK dans un cas d’astigmatisme congénital
Suivi d’une atrophie géographique à l’aide de clichés en autofluorescence bleue du fond d’œil
Figure 2. Suivi d’une atrophie géographique à l’aide de clichés en autofluorescence bleue du fond d’œil. Les lésions hypoautofluorescentes sombres augmentent dans le temps et deviennent confluentes. Il est possible de mesurer leur surface et de suivre leur évolution à l’aide du logiciel Region Finder Analyzer (Heidelberg).
Cliché rétinien couleur d’une atrophie géographique
Figure 1. Cliché rétinien couleur d’une atrophie géographique. On note une lésion arrondie ou ovalaire à limites nettes, d’aspect plus pâle que la rétine adjacente, avec des troncs choroïdiens visibles à travers.
Cliché rétinien couleur d’une atrophie géographique
Figure 1. Cliché rétinien couleur d’une atrophie géographique. On note une lésion arrondie ou ovalaire à limites nettes, d’aspect plus pâle que la rétine adjacente, avec des troncs choroïdiens visibles à travers.
Suivi d’une atrophie géographique à l’aide de clichés en autofluorescence bleue du fond d’œil
Figure 2. Suivi d’une atrophie géographique à l’aide de clichés en autofluorescence bleue du fond d’œil. Les lésions hypoautofluorescentes sombres augmentent dans le temps et deviennent confluentes. Il est possible de mesurer leur surface et de suivre leur évolution à l’aide du logiciel Region Finder Analyzer (Heidelberg).
Panuvéite unilatérale non granulomateuse à hypopion avec foyers de rétinite périphériques chez un homme de 40 ans ayant une aphtose buccale.
Figure 3. OG. Panuvéite unilatérale non granulomateuse à hypopion avec foyers de rétinite périphériques chez un homme de 40 ans ayant une aphtose buccale. Après qu’il a été établi que la recherche de virus dans l’humeur aqueuse était négative, un traitement par corticothérapie et interféron alpha-2 a permis une cicatrisation totale des foyers de rétinite et une récupération visuelle à 9/10. Les zones d’ischémie rétinienne périphérique ont été traitées secondairement par panphotocoagulation rétinienne.
Risque élevé de séclusion pupillaire chez un patient présentant une uvéite sarcoïdosique
Figure 1. Risque élevé de séclusion pupillaire chez un patient présentant une uvéite sarcoïdosique : la prévention repose sur le contrôle de l’inflammation pour éviter la formation de synéchies iridocristalliniennes sur 360 °.
Panuvéite unilatérale non granulomateuse à hypopion avec foyers de rétinite périphériques chez un homme de 40 ans ayant une aphtose buccale.
Figure 3. OG. Panuvéite unilatérale non granulomateuse à hypopion avec foyers de rétinite périphériques chez un homme de 40 ans ayant une aphtose buccale. Après qu’il a été établi que la recherche de virus dans l’humeur aqueuse était négative, un traitement par corticothérapie et interféron alpha-2 a permis une cicatrisation totale des foyers de rétinite et une récupération visuelle à 9/10. Les zones d’ischémie rétinienne périphérique ont été traitées secondairement par panphotocoagulation rétinienne.
Risque élevé de séclusion pupillaire chez un patient présentant une uvéite sarcoïdosique
Figure 1. Risque élevé de séclusion pupillaire chez un patient présentant une uvéite sarcoïdosique : la prévention repose sur le contrôle de l’inflammation pour éviter la formation de synéchies iridocristalliniennes sur 360 °.