Figure 3. En haut. Pseudo-TM. MER avec verticalisation des bords de l’entonnoir fovéolaire sans perte de tissu rétinien fovéolaire. En bas. MER avec fovéoschisis et TVM. Schisis des couches des fibres de Henle et plis rétiniens.
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L’association d’une dystrophie maculaire réticulée, d’un diabète et d’une surdité évoque le diagnostic de MIDD (Maternally inherited diabetes and deafness)
Figure 4. Lésions hypofluorescentes en angiographie à la fluorescéine (A), également hypocyanescentes en ICG (B) correspondant à des taches d’Elschnig sur les clichés au temps tardif.
Figure 1. Photographie grand champ (Optos) du fond d’œil retrouvant un œdème papillaire, des hémorragies multiples, des exsudats secs et des nodules cotonneux.
Figure 1. Œdème maculaire diabétique associé à la présence de points hyperréflectifs (pointés par des flèches), et d’un décollement séreux rétinien (étoile jaune).
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OCT maculaire avant et après une injection intravitréenne d’anti-VEGF.
Figure 4. Disparition du gris préépithélial et du décollement séreux rétinien. Atrophie de la rétine externe avec hyperréflectivité en regard. Acuité visuelle de 6/10.
OCT maculaire montrant une lésion choroïdienne avec des couches lamellaires hyperréflectives, une diminution de l’épaisseur de la choriocapillaire.
Figure 2. On note également une altération de la rétine externe en regard, un décollement séreux rétinien avec une zone de gris préépithélial en regard suggérant la présence d’un néovaisseau choroïdien.
Lésion jaunâtre bien délimitée au pôle postérieur avec une hémorragie en inféromaculaire.
Figure 1. Photographie du fond d’œil et cliché en autofluorescence. En autofluorescence, zone d’hypo-autofluorescence centrale entourée d’une zone hétérogène alternant hyper/hypo et iso-autofluorescence en périphérie.
Figure 3. Angiographie à la fluorescéine (à gauche) et au vert d’indocyanine (à droite). Fluorescence hétérogène de la lésion avec une diffusion au temps tardif correspondant à un néovaisseau choroïdien visible à l’angiographie à la fluorescéine (à gauche). Hypofluorescence de la lésion au vert d’indocyanine aux temps précoce et tardif (à droite).
Figure 1. Photographie couleur en ultra grand champ du fond d’œil gauche retrouvant une volumineuse plage hémorragique en périphérie inférotemporale accompagnée d’exsudats lipidiques, de liquide sous-rétinien et d’une plage d’atrophie périphérique.
Figure 2. Cliché d’angiographie à la fluorescéine en ultra grand champ de l’œil gauche (30 sec). On note un effet masque avec un blocage de la diffusion choroïdienne au niveau des plages hémorragiques. On constate aussi un effet fenêtre avec visualisation d’une zone d’atrophie en périphérie temporale ainsi que des altérations de l’épithélium pigmentaire. On visualise également au niveau maculaire une diffusion bien circonscrite accompagnée en temporal de pin points.
Figure 4. A. Coupe d’OCT maculaire montrant la présence d’une néovascularisation choroïdienne mixte avec des logettes intrarétiniennes exsudatives. B. Coupes d’OCT sur les lésions périphériques retrouvant un décollement de l’épithélium pigmentaire hémorragique accompagné d’un décollement séreux rétinien et d’exsudats.
Figure 3. Cliché d’angiographie en ICG ultra grand champ (6 min) : on note des altérations de la vascularisation choroïdienne périphérique ressemblant à celles retrouvées dans la vasculopathie polypoïdale, avec une irrégularité du réseau vasculaire choroïdien et des multiples foci hyperfluorescents (polyp-like spots) (flèches jaunes) au bord du décollement de l’épithélium pigmentaire hémorragique.
L’association d’une dystrophie maculaire réticulée, d’un diabète et d’une surdité évoque le diagnostic de MIDD (Maternally inherited diabetes and deafness)
L’association d’une dystrophie maculaire réticulée, d’un diabète et d’une surdité évoque le diagnostic de MIDD (Maternally inherited diabetes and deafness)
L’association d’une dystrophie maculaire réticulée, d’un diabète et d’une surdité évoque le diagnostic de MIDD (Maternally inherited diabetes and deafness)
L’association d’une dystrophie maculaire réticulée, d’un diabète et d’une surdité évoque le diagnostic de MIDD (Maternally inherited diabetes and deafness)
Figure 1. Photographie grand champ (Optos) du fond d’œil retrouvant un œdème papillaire, des hémorragies multiples, des exsudats secs et des nodules cotonneux.
Figure 1. Photographie grand champ (Optos) du fond d’œil retrouvant un œdème papillaire, des hémorragies multiples, des exsudats secs et des nodules cotonneux.
Figure 4. Lésions hypofluorescentes en angiographie à la fluorescéine (A), également hypocyanescentes en ICG (B) correspondant à des taches d’Elschnig sur les clichés au temps tardif.
Figure 4. Lésions hypofluorescentes en angiographie à la fluorescéine (A), également hypocyanescentes en ICG (B) correspondant à des taches d’Elschnig sur les clichés au temps tardif.
OCT maculaire montrant une lésion choroïdienne avec des couches lamellaires hyperréflectives, une diminution de l’épaisseur de la choriocapillaire.
Figure 2. On note également une altération de la rétine externe en regard, un décollement séreux rétinien avec une zone de gris préépithélial en regard suggérant la présence d’un néovaisseau choroïdien.
Lésion jaunâtre bien délimitée au pôle postérieur avec une hémorragie en inféromaculaire.
Figure 1. Photographie du fond d’œil et cliché en autofluorescence. En autofluorescence, zone d’hypo-autofluorescence centrale entourée d’une zone hétérogène alternant hyper/hypo et iso-autofluorescence en périphérie.
Figure 3. Angiographie à la fluorescéine (à gauche) et au vert d’indocyanine (à droite). Fluorescence hétérogène de la lésion avec une diffusion au temps tardif correspondant à un néovaisseau choroïdien visible à l’angiographie à la fluorescéine (à gauche). Hypofluorescence de la lésion au vert d’indocyanine aux temps précoce et tardif (à droite).
OCT maculaire avant et après une injection intravitréenne d’anti-VEGF.
Figure 4. Disparition du gris préépithélial et du décollement séreux rétinien. Atrophie de la rétine externe avec hyperréflectivité en regard. Acuité visuelle de 6/10.
Lésion jaunâtre bien délimitée au pôle postérieur avec une hémorragie en inféromaculaire.
Figure 1. Photographie du fond d’œil et cliché en autofluorescence. En autofluorescence, zone d’hypo-autofluorescence centrale entourée d’une zone hétérogène alternant hyper/hypo et iso-autofluorescence en périphérie.
Figure 3. Angiographie à la fluorescéine (à gauche) et au vert d’indocyanine (à droite). Fluorescence hétérogène de la lésion avec une diffusion au temps tardif correspondant à un néovaisseau choroïdien visible à l’angiographie à la fluorescéine (à gauche). Hypofluorescence de la lésion au vert d’indocyanine aux temps précoce et tardif (à droite).
OCT maculaire avant et après une injection intravitréenne d’anti-VEGF.
Figure 4. Disparition du gris préépithélial et du décollement séreux rétinien. Atrophie de la rétine externe avec hyperréflectivité en regard. Acuité visuelle de 6/10.
OCT maculaire montrant une lésion choroïdienne avec des couches lamellaires hyperréflectives, une diminution de l’épaisseur de la choriocapillaire.
Figure 2. On note également une altération de la rétine externe en regard, un décollement séreux rétinien avec une zone de gris préépithélial en regard suggérant la présence d’un néovaisseau choroïdien.
Figure 3. Angiographie à la fluorescéine (à gauche) et au vert d’indocyanine (à droite). Fluorescence hétérogène de la lésion avec une diffusion au temps tardif correspondant à un néovaisseau choroïdien visible à l’angiographie à la fluorescéine (à gauche). Hypofluorescence de la lésion au vert d’indocyanine aux temps précoce et tardif (à droite).
OCT maculaire avant et après une injection intravitréenne d’anti-VEGF.
Figure 4. Disparition du gris préépithélial et du décollement séreux rétinien. Atrophie de la rétine externe avec hyperréflectivité en regard. Acuité visuelle de 6/10.
OCT maculaire montrant une lésion choroïdienne avec des couches lamellaires hyperréflectives, une diminution de l’épaisseur de la choriocapillaire.
Figure 2. On note également une altération de la rétine externe en regard, un décollement séreux rétinien avec une zone de gris préépithélial en regard suggérant la présence d’un néovaisseau choroïdien.
Lésion jaunâtre bien délimitée au pôle postérieur avec une hémorragie en inféromaculaire.
Figure 1. Photographie du fond d’œil et cliché en autofluorescence. En autofluorescence, zone d’hypo-autofluorescence centrale entourée d’une zone hétérogène alternant hyper/hypo et iso-autofluorescence en périphérie.
Figure 2. Cliché d’angiographie à la fluorescéine en ultra grand champ de l’œil gauche (30 sec). On note un effet masque avec un blocage de la diffusion choroïdienne au niveau des plages hémorragiques. On constate aussi un effet fenêtre avec visualisation d’une zone d’atrophie en périphérie temporale ainsi que des altérations de l’épithélium pigmentaire. On visualise également au niveau maculaire une diffusion bien circonscrite accompagnée en temporal de pin points.
Figure 3. Cliché d’angiographie en ICG ultra grand champ (6 min) : on note des altérations de la vascularisation choroïdienne périphérique ressemblant à celles retrouvées dans la vasculopathie polypoïdale, avec une irrégularité du réseau vasculaire choroïdien et des multiples foci hyperfluorescents (polyp-like spots) (flèches jaunes) au bord du décollement de l’épithélium pigmentaire hémorragique.
Figure 4. A. Coupe d’OCT maculaire montrant la présence d’une néovascularisation choroïdienne mixte avec des logettes intrarétiniennes exsudatives. B. Coupes d’OCT sur les lésions périphériques retrouvant un décollement de l’épithélium pigmentaire hémorragique accompagné d’un décollement séreux rétinien et d’exsudats.
Figure 1. Photographie couleur en ultra grand champ du fond d’œil gauche retrouvant une volumineuse plage hémorragique en périphérie inférotemporale accompagnée d’exsudats lipidiques, de liquide sous-rétinien et d’une plage d’atrophie périphérique.
Figure 3. Cliché d’angiographie en ICG ultra grand champ (6 min) : on note des altérations de la vascularisation choroïdienne périphérique ressemblant à celles retrouvées dans la vasculopathie polypoïdale, avec une irrégularité du réseau vasculaire choroïdien et des multiples foci hyperfluorescents (polyp-like spots) (flèches jaunes) au bord du décollement de l’épithélium pigmentaire hémorragique.
Figure 4. A. Coupe d’OCT maculaire montrant la présence d’une néovascularisation choroïdienne mixte avec des logettes intrarétiniennes exsudatives. B. Coupes d’OCT sur les lésions périphériques retrouvant un décollement de l’épithélium pigmentaire hémorragique accompagné d’un décollement séreux rétinien et d’exsudats.
Figure 1. Photographie couleur en ultra grand champ du fond d’œil gauche retrouvant une volumineuse plage hémorragique en périphérie inférotemporale accompagnée d’exsudats lipidiques, de liquide sous-rétinien et d’une plage d’atrophie périphérique.
Figure 2. Cliché d’angiographie à la fluorescéine en ultra grand champ de l’œil gauche (30 sec). On note un effet masque avec un blocage de la diffusion choroïdienne au niveau des plages hémorragiques. On constate aussi un effet fenêtre avec visualisation d’une zone d’atrophie en périphérie temporale ainsi que des altérations de l’épithélium pigmentaire. On visualise également au niveau maculaire une diffusion bien circonscrite accompagnée en temporal de pin points.
Figure 3. Cliché d’angiographie en ICG ultra grand champ (6 min) : on note des altérations de la vascularisation choroïdienne périphérique ressemblant à celles retrouvées dans la vasculopathie polypoïdale, avec une irrégularité du réseau vasculaire choroïdien et des multiples foci hyperfluorescents (polyp-like spots) (flèches jaunes) au bord du décollement de l’épithélium pigmentaire hémorragique.
Figure 1. Photographie couleur en ultra grand champ du fond d’œil gauche retrouvant une volumineuse plage hémorragique en périphérie inférotemporale accompagnée d’exsudats lipidiques, de liquide sous-rétinien et d’une plage d’atrophie périphérique.
Figure 2. Cliché d’angiographie à la fluorescéine en ultra grand champ de l’œil gauche (30 sec). On note un effet masque avec un blocage de la diffusion choroïdienne au niveau des plages hémorragiques. On constate aussi un effet fenêtre avec visualisation d’une zone d’atrophie en périphérie temporale ainsi que des altérations de l’épithélium pigmentaire. On visualise également au niveau maculaire une diffusion bien circonscrite accompagnée en temporal de pin points.
Figure 4. A. Coupe d’OCT maculaire montrant la présence d’une néovascularisation choroïdienne mixte avec des logettes intrarétiniennes exsudatives. B. Coupes d’OCT sur les lésions périphériques retrouvant un décollement de l’épithélium pigmentaire hémorragique accompagné d’un décollement séreux rétinien et d’exsudats.