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Madame L. est coquette et n'aime pas porter de lunettes. Née en 1950 et légèrement hypermétrope, elle a vécu sans correction jusqu'à l'âge de 47 ans. Dirigeant une galerie d'art, et commençant à être gênée pour la lecture des petits caractères, elle achète des lunettes loupes et portera successivement des +1,50, +2,00 et +2,50 avant de se décider, à l'âge de 57 ans, à consulter un ophtalmologiste. Le médecin constate qu'elle est hypermétrope et lui prescrit des verres…
L'oncologie oculaire a bénéficié de progrès thérapeutiques multiples au cours des dix dernières années. La génétique tumorale a été précisée pour le rétinoblastome et le mélanome. Les techniques chirurgicales ont progressé avec le développement des ponctions à l'aiguille fine et de la chirurgie rétinovitréenne. Les tumeurs de surface sont mieux prises en charge grâce à une chirurgie facilitée par les greffes de membrane amniotique et aux résultats obtenus par les…
Madame R., née en 1962, fort hypermétrope-astigmate, présente une amblyopie profonde de l'œil gauche. Elle a été opérée d'un strabisme convergent à l'âge de 5ans. Equipée en lentilles de contact (LC) depuis de nombreuses années, elle doit actuellement avoir recours à des lunettes en fin de journée en raison d'une insuffisance lacrymale. Devenue presbyte et dépendante d'une correction distincte pour la VL et la VP, des verres progressifs lui sont prescrits en 2008. Les résultats…
Madame F., née en 1951, est hypermétrope. Devenue presbyte et acceptant mal la dépendance permanente aux lunettes, elle consulte pour bénéficier d'une chirurgie réfractive de type presbylasik. En fonction de son amétropie et de ses performances visuelles, un traitement par lasik, avec une légère bascule, lui est proposé : VL/VI pour l'œil droit directeur et VI/VP pour l'œil gauche.Opérée des deux yeux à un mois d'intervalle, la patiente n'a plus du tout besoin de lunettes. Cinq…
L'anisométropie faible ou forte n'est pas une contre-indication absolue à l'équipement en verres progressifs ». Cependant, avant de poser l'indication de ce type d'équipement, il est indispensable de différencier les anisométropies congénitales des anisométropies acquises et d'analyser les désordres binoculaires qui en découlent. Ceci était la conclusion d'une étude publiée en 1998 dans le Journal français d'ophtalmologie. Qu'en est-il aujourd'hui ?
La réfraction est un acte courant et banal de notre pratique quotidienne lors de la prise en charge des personnes souhaitant une compensation de leur défaut visuel. Sa pratique n'a plus de secret pour le spécialiste et pourtant certains patients rencontrent parfois des inconforts visuels... Afin de tenter d'expliquer certaines de ces causes d'inconfort, analysons l'importance des différentes étapes de la réfraction dans le confort visuel.
Monsieur G., né en 1963, est fort myope, astigmate, anisométrope, équipé de verres unifocaux. Statisticien, travaillant de nombreuses heures sur écran, il souffre de douleurs oculaires et de céphalées et se plaint d'éblouissement. À chaque renouvellement de correction, il rencontre des difficultés d'adaptation en vision binoculaire et doit faire ajuster sa monture penchée du côté gauche. Un bilan orthoptique, demandé par son ophtalmologiste, met en évidence une hypophorie de…
Il est indéniablement reconnu que la tomographie par cohérence optique (OCT) a représenté l’innovation d’imagerie la plus marquante des 20 dernières années en ophtalmologie. Après avoir conquis le domaine de la rétine, elle s’est répandue dans les champs adjacents de l’imagerie du segment antérieur. En 2020, la topographie cornéenne par OCT (TC-OCT) arrive à maturité et interroge sur ses performances, ses limites et ses perspectives. Cet article propose une mise au point sur…
Dossier
Impact de l'environnement
Editorial et coordination :
David Touboul
Dossier
Les prochains tournants
en ophtalmologie
Editorial et coordination :
Aude Couturier et David Touboul
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