Les articles d'optique
Nous reprenons dans cet article, et sous la forme volontairement synthétique pour servir éventuellement de fiches pour les révisions de la préparation à l’EBO, la question du comportement d’un système optique avec une interface sphérique. Abordée dans la première partie parue dans Les Cahiers d'Ophtalmologie n° 209 (avril 2017), nous poursuivons ici par les lentilles convergentes et divergentes, le système afocal, la loi à connaître, le grandissement, le prisme et les aberrations optiques.
L’objectif de ce cours organisé par l’ANJO (Association nationale des jeunes ophtalmologistes) est d’apporter quelques bases utiles pour la préparation à l’EBO (European board of Ophthalmology). La forme est volontairement synthétique pour servir éventuellement de fiches pour les révisions. L’ANJO souhaite remercier très chaleureusement le Dr Julien Bullet qui a aimablement accepté d’animer ce premier cours. Cet article en est la retranscription.
Un jeune étudiant en médecine, âgé de 24 ans, consulte car il se plaint d’une vision floue au loin et de fatigue visuelle après un travail prolongé sur son écran d’ordinateur. Il est corrigé avec des lunettes pour une myopie apparue à l’âge de 8 ans et qui a évolué progressivement. D’une famille de myopes, il est surveillé régulièrement par le même ophtalmologiste. Gêné par des spasmes accommodatifs, une réfraction sous Skiacol® va révéler une légère sur-correction de sa myopie. La sous-correction prescrite, confortable pour la lecture et le travail sur écran,…
Les LEDs sont de plus en plus présentes dans les sociétés occidentales. Leur spectre est principalement situé dans le bleu entre 400 et 500 nm. De plus en plus d’études démontrent l’importance de la lumière dans le rythme circadien et la régulation du métabolisme. Cependant, ces longueurs d’onde auraient également un effet délétère sur la rétine. Cet article fait le point sur les connaissances actuelles sur le sujet dont les conséquences médico économiques en termes de santé publique peuvent être importantes.
Monsieur A.A., pianiste de renom de 54 ans, a porté pendant plus de cinq ans des verres progressifs qui lui donnaient entière satisfaction. Sa correction ayant évolué, deux nouveaux équipements ont été prescrits et réalisés depuis, mais sans succès. Grâce à différents tests subjectifs, les origines de ces échecs ont été identifiées et une solution performante et confortable a pu être trouvée.