Cornée (chirurgie et réfraction)
Nous présentons ici le cas d’un jeune homme de 20 ans atteint d’un kératocône strictement unilatéral à droite. L’intérêt de ce cas est de discuter l’importance des facteurs environnementaux dans le kératocône et leur implication dans les formes unilatérales.
Le Lasik de l’hypermétrope fort peut se révéler être une bonne alternative aux chirurgies endoculaires. À condition de respecter des critères d’éligibilité stricts et de réaliser une chirurgie appropriée pour une large zone centrale photoablative à pouvoir réfractif équivalent et une zone de transition douce, le Lasik permet d’obtenir des résultats spectaculaires et durables dans le temps chez les patients hypermétropes forts.
On estime que les plaies de cornée représentent environ 7 à 14% des blessures traumatiques oculaires vues en unité d’urgence ophtalmologique. Le traumatisme cornéen est la plaie la plus fréquente chez l’homme d’âge moyen (entre 20 et 30 ans), l’enfant et la personne âgée [1]. Une plaie de cornée « qui dérange » est une plaie difficile à traiter ou qui présente des facteurs de mauvais pronostic fonctionnel. Il faudra s’attacher à ne pas méconnaître la présence d’un corps étranger intraoculaire (CEIO).
Comme chaque année, la SFO et la SAFIR ont exposé les actualités dans le domaine de la chirurgie réfractive et de la cataracte grâce aux nombreux intervenants spécialisés. Nous vous présentons un résumé de quelques-unes d’entre elles.
Dernier dossier paru :
Prise en charge du kératocône
Editorial et coordination :
David Touboul
Dossier
Greffes et thérapeutiques innovantes de la cornée
Editorial et coordination : Vincent Borderie
Aucun événement